Entre l’arbre près duquel est mort son arrière grand-père et la station service où sa femme l’a quitté.
Les dessins, les traits, les couleurs semblent eux aussi écorchés : du brouillon raturé aux images lisses, du noir et blanc aux couleurs les plus vives, des grands aplats sans textes aux planches chargées en récit .
L’œuvre complète, par le fond comme la forme, renvoie la folie de son protagoniste avec une force percutante.
Comment connaître son histoire quand on en a racontée autant ?
Il en perd son histoire, sa vie, ses histoires et semble aussi perdre le lecteur qui pourtant ne peut pas s’en détacher.
Par Alexandra